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Deux marches blanches pour Aurélie : mais où était donc la diversité ?

Tandis que la génitrice du mahométan Ghlam se lamentait qu’il y avait forcément erreur sur la personne parce que son rejeton « il est gentil », une messe était célébrée à Villejuif en hommage à Aurélie Châtelain et une marche blanche organisée dans le village de Caudry d’où était originaire la victime du terroriste raté.

Sud-Ouest, qui prévient que « les réactions à cet article ont été suspendues » et dont on se demande jusqu’à quel point il ne prend pas fait et cause pour la famille Ghlam, opte pour un ton intimiste et larmoyant destiné à faire pleurer dans les chaumières de Clichy. La pov’ maman de Sid Ahmed, dit le « jeune homme », « entre deux sanglots, visiblement abattue et sous calmants », exprime la confiance qu’elle a dans son fiston, même si elle est incapable de dire ce qu’il fabriquait à Paris au lieu d’être à St Dizier avec la famille. Elle ne connaît pas ses fréquentations mais croit savoir qu’il est «gentil, il est bien avec tout le monde ».

Convaincue qu’il va être innocenté, elle se dit choquée qu’on ose accuser un si brave garçon qui, selon elle, ne peut pas être reconnu coupable puisque « il mange avec ses frères et sœurs. Il se promène. Il fait du vélo ». Alors ?! Si c’est pas une preuve ça !

Un avis optimiste partagé par une internaute qui tempère et déforme légèrement les faits pour les faire coller à ce qu’elle estime être plus proche de la réalité, à savoir qu’Aurélie Châtelain pourrait bien être en vérité la véritable coupable dans cette histoire : « Il n’est sans doute pas innocent mais il n’est pas forcément coupable des faits qui lui sont attribués. Il a reçu une balle et c’était une blessure grave. Ça laisse divers scénarios possibles dont certains dans lesquels la victime n’est pas non plus totalement innocente ».

Plus c’est gros…

Ambiance différente à Villejuif selon l’AFP qui nous rejoue le fameux « la France a peur » du regretté Roger Gicquel avec, à les en croire, des gens effrayés par leur ombre imaginant des corps sanguinolents tandis qu’ils se massent peu à peu devant l’église Saint-Cyr-Sainte-Julitte. Un étudiant dans la foule de quelques centaines de personnes fait part de l’impuissance de la population face à une telle menace islamiste car « ici, il n’y a que des gens désarmés : des petits vieux, des femmes, des enfants ! ».

« Tôt ou tard, il fallait bien s’attendre à ce que les catholiques eux aussi soient pris pour cible. Nous échappons de peu à ce qui aurait pu être un massacre », s’exclame le prêtre qui manifestement ne semble pas au courant que chaque jour en France des chrétiens sont tués par des déséquilibrés atteints du même mal que celui de Sid Ahmed Ghlam, un mal attrapé à la mosquée comme on attrape des verrues à la piscine.

Prenant le micro, une femme en larmes réclame une prière pour le meurtrier d’Aurélie « ce jeune déboussolé, embrigadé dans le terrorisme. (…) Qu’il découvre que l’amour rend plus heureux que la haine ». Décidément, on se dit que cette charitable sollicitude chrétienne contribue avec une innocente mais funeste complaisance au mal qui nous ronge. Implorer le pardon c’est bien beau mais cela ouvre de bien dangereuses autoroutes à l’obscurantisme aveugle qui roule à contresens. Une fois l’émotion passée, il va quand même falloir songer à remonter ses manches et à faire preuve d’un peu plus de fermeté vis-à-vis des déséquilibrés d’outre-Europe qui veulent notre peau !

Le recueillement était aussi de mise à Caudry, petite commune du nord, avec la désormais incontournable pancarte « je suis… », en l’occurrence « je suis Aurélie », mais on peut déjà préparer d’autres pancartes avec d’autres prénoms pour les futures marches blanches dédiées aux victimes à venir de ces criminels laissés en liberté par le régime par crainte de les stigmatiser et de blasphémer.

Parmi la foule de 2 500 personnes, un homme exprime sa colère « car on fait passer l’assassin d’Aurélie pour un homme bien et trois avocats connus se sont déjà proposés pour le défendre ! Alors que sa famille, elle, n’a toujours pas reçu le statut de victime ». Et oui, mon bon monsieur, c’est ça la république socialiste droit-de-l’hommiste où les délinquants sont plus choyés et protégés que les victimes. La voilà la France violée dans une tournante islamo-gouvernementale dans laquelle chacun réclame sa part de plaisir. La voilà la France pour laquelle nos grands-pères se sont fait exploser la tête et le cœur offert à leur patrie chérie. Pour qu’au final nous héritions de cet innommable merdier !

Deux marches blanches pour Aurélie : mais où était donc la diversité ?

Des photos ont été prises à Caudry et une chose nous frappe immédiatement… Cette marche blanche porte parfaitement son nom. Car, comme toujours lorsqu’un meurtre est commis par un membre de la communauté des « chances pour la France », les immigrés extra-européens n’éprouvent pas spontanément le besoin de venir se recueillir ni d’exprimer par leur présence leur solidarité affectueuse comme il est d’usage de le faire quand un pays est dans la peine.

Pourtant ce rassemblement se revendiquait « républicain ». Il faut croire qu’eux ne se sentent pas républicains, pas de ce pays et qu’ils se fichent pas mal des morts qui n’appartiennent pas à leur communauté, car après tout Aurélie n’était qu’une mécréante, tout comme ces Français venus lui rendre hommage.

Lorsque les morts sont des fuyards à scooter voulant échapper à la police après leur méfait, là par contre la diversité veut bien défiler avec ses grigris pileux et autres voilages, et participe même à des mises à feu de voitures et de commissariats. On a l’indignation qu’on peut…

Quelque chose me dit que ce soir aucun des marcheurs portant le deuil d’Aurélie Châtelain n’aura un seul instant l’idée d’aller brûler quoi que ce soit.

http://ripostelaique.com/deux-marches-blanches-pour-aurelie-mais-ou-etait-donc-la-diversite.html

Tag(s) : #Anti-France
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