https://www.youtube.com/watch?time_continue=151&v=3H1IIhyxtxU
Le festival Solidays, créé à l'origine pour collecter des fonds afin de lutter contre le sida et devenu aujourd'hui une tribune pour les LGBT et les promoteurs du trafic d'humains, est subventionné à hauteur de 800 000 euros par la région Île-de-France. Les contribuables ont payé de leur poche pour se faire insulter, la question du sida n'étant plus dorénavant qu'un prétexte rendu fumeux et quasi obsolète par d'autres prêches bien plus porteurs idéologiquement et plus juteux en termes de bénéfices sonnants et trébuchants.
Et puis la destruction de nos valeurs morales et culturelles ne vaut-elle pas un beau déballage de névroses sexuelles sur fond de pornographie et de promotion d'accueil sans réserve de pauvres hères déferlant par centaines de milliers chaque année de leur continent pour bénéficier des largesses du nôtre ?
Cette 20e édition du festival a rassemblé 200 000 personnes sur la pelouse de Longchamp afin de les initier comme il se doit à la haine des catholiques et de ces dérangeants hétéros un peu trop normaux sans doute puisqu'ils osent, les monstres, concevoir les enfants par la voie de la nature depuis des millénaires. Il semble qu'il conviendrait pour cette minorité aux moeurs trans-gressives d'éradiquer la grande majorité des Français, tellement englués dans leur hétérosexualité dégoûtante, dans les plus brefs délais.
Ca a la haine chevillée au corps mais ça se vante d'être humaniste et plein d'amour... Du moment qu'il y a des bulots lobotomisés pour y croire et pour applaudir, pourquoi s'en priver ?
Solidays est également une tribune pour la promotion de la pornographie. Pour l'amour, là encore vous repasserez. L'amour est une valeur dépassée. Si tu n'es pas dans la promotion de l'éjaculation faciale, de la biffle, du fist-fucking, du gode ceinture, et que tu ne portes pas ton sexe en étendard sur ton front ou dans la bouche d'un autre, tu n'es qu'un pauvre ringard digne de se faire huer et bousculer dans les rires gras et le rouge à lèvres coulant d'une vieille drag-queen en bayadère de la rue des Francs-Bourgeois.
Valérie Pécresse, venue soutenir le machin, en a été pour ses frais puisqu'elle y a été copieusement insultée par les militants d'Act Up (qui a récemment subi un putsch visant à éliminer l'ancienne équipe pour prendre la place) pour avoir supprimé la réduction de 75 % dans les transports pour les clandestins illégaux.
Les Franciliens ont payé de leur poche 800 000 euros pour cela... Souriez, c'est vous qui payez !